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La Estupidez

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La Estupidez : la connerie. Rafael Spregelburd (1970) la rend brillamment théâtrale, foisonnante, drôle, loufoque. Il décrit ce monde qui tourne à vide, hésitant entre le chaos et l’ordre, le hasard et la destinée. Un monde en quête de sens et d’argent.Quel est le prix du sens ? Quel est le sens de l’argent ? Est-il à Las Vegas ? L’amour est-il possible dans la police ?

Y a-t-il une méthode mathématique pour gagner à la roulette ? Les ouvreuses de cinéma sont-elles prêtes à se vendre pour trouver l’âme soeur ? Que vaut un tableau dont les couleurs ont disparu ? La mafia sicilienne finira-t-elle par entrer dans le Top 50?
Dans LA ESTUPIDEZ, les événements se précipitent au point que les effets précèdent les causes. C’est l’ultime catastrophe, la finale de glissades sur peaux de bananes, la version définitive du coup du râteau, le Nobel de l’arroseur arrosé. Et s’installe une sensation délicieuse, celle d’être pris au piège de sa propre intelligence, de sa propre bêtise.Peut-on vaincre la connerie ? On peut en rire.
Let’s play.

«La Estupidez est une comédie. Sur fond d’apocalypse.»
C’est ainsi que Marcial Di Fonzo Bo, qui a introduit le travail Rafaël Spregelburd en France, résume cette pièce écrite en 2002 qui, après Le Dégoût, L’Extravagance, La Boulimie et La Modestie, constitue la cinquième partie de son heptalogie inspirée des 7 pêchés capitaux de Jérome Bosch (Musée du Prado, Madrid). Comme « La Estupidez » est la transposition spregelburdienne de l’avarice, la pièce prolonge ainsi d’une autre manière la réflexion sur l’argent amorcée par le collectif lors de « Capital Confiance ».

Le choix de Las Vegas comme scène du drame n’étant pas innocent, il apparait d’emblée qu’il sera question d’argent, d’âme, de filles, et …

 

PRIX DE LA CRITIQUE 2012

Meilleure création artistique et technique (M. Szersnovicz), Meilleur comédien (P. Sartenaer)

 

 

 

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Credits

Auteur: Rafaël Spregelburd
Traduction: Marcial Di Fonzo Bo et Guillermo Pisani
Avec (version française) : Bernard Breuse, Miguel Decleire, Kristien De Proost, Pierre Sartenaer, Mélanie Zucconi

Avec (version néerlandaise) :Kristien De Proost, Youri Dirkx, Peter Vandenbempt, Iris Van Cauwenbergh, Dirk Van Dijck
Dramaturgie: Stéphane Olivier
Scénographie et costumes: Marie Szersnovicz
Assistanat scénographie: Anette Hirsch
Technique et lumière: Laurence Halloy
Coproduction: Transquinquennal, Théâtre de la Place, Théâtre Les Tanneurs, Tristero, avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la Vlaamse Gemeenschap
L’Arche est agent théâtral du texte représenté. www.arche-editeur.com

Teaser

Press

Au-delà des figures caricaturales déambulant devant nous, c’est une critique du système libéral qui est mise en scène. La valeur de l’argent a pris le dessus l’humanisme. Une domination que l’on vit aujourd’hui en Europe, dans laquelle les Etats-Unis jouent parfois à l’arbitre. L’article complet

05/02/2016, Elise Lonnet, eyes-on-europe.eu

C’est là le génie de Rafael Spregelburd et de la compagnie Transquinquennal : nous donner à voir une toile à la fois ordonnée et chaotique, avec son lot de hasards, et rendre au public la liberté et la responsabilité de lui donner sens, mais seulement s’il le veut. L’article complet

22/10/2015, Sarah Meurisse, Karoo

Une prestation époustouflante dans un mélange des formes et des genres (mélodrame, séries télévisées, road movie, séries américaines des années 70 ou le théâtre de l’absurde) et un délire total à voir ou revoir sans tarder. L’article complet

06/10/2015, Didier Béclard, L'Echo

Entre le couvre lit bien tendu et le chaos, entre 20h30 et 23h45, on aura fait connaissance avec des vendeurs de tableaux volés voire inventés, des acheteurs potentiels, un couple de flics de la route, un groupe d’amis appliquant une recette au casino, un physicien utopiste et son fils poursuivi par des mafieux tatoués, une journaliste influente, des ouvreuses de cinéma bavardes (une surtout), une tétraplégique et son frère... Autant de prismes par où considérer et questionner notre monde, ses trop pleins et ses vides, dans cette comédie apocalyptique, vertigineuse, décapante. L’article complet

20/04/2012, Marie Baudet, La Libre Belgique

Deux flics, dûment casqués et bottés débarquent dans un motel de Las Vegas. Ils entrent dans une chambre, dialoguent de loin avec le réceptionniste, ferment soigneusement la porte et… s’embrassent à pleine bouche. Dès les premières minutes de La Estupidez (La connerie) de l’auteur argentin Rafael Spregelburd, on comprend que rien ne va se passer comme on pourrait s’y attendre. L’article complet

24/04/2012, Jean-Marie Wynants, Le Soir

Photos

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Captation du spectacle

Représentations

  • 18/01/2018: CC De Werf, Aalst (BE)
  • 21/12/2017: CC De Herbakker, Eeklo (BE)
  • 14/12/2017: 30CC / Minnepoort, Leuven (BE)
  • 08/12/2017: CC Sint-Niklaas, Sint-Niklaas (BE)
  • 19 → 21/07/2017: Paris l'été - Théâtre Paris-Villette, Paris (FR)
  • 30 → 31/03/2017: 't Arsenaal, Mechelen (BE)
  • 16 → 17/03/2017: CC De Kern, Wilrijk (BE)
  • 08 → 11/03/2017: Koninklijke Vlaamse Schouwburg, Bruxelles (BE)
  • 01 → 22/10/2015: Théâtre Varia, Bruxelles (BE)
  • 14 → 18/01/2014: Théâtre Les Tanneurs, Bruxelles (BE)
  • 24 → 28/04/2012: Théâtre de la Place, Liège (BE)
  • 17 → 21/04/2012: Théâtre Les Tanneurs, Bruxelles (BE)

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